• Comment changer sa vie définitivement.

     

    Pour changer complètement sa vie et acquérir un bien-être voire une guérison totale, il y a un travail important à faire sur soi même, Celui-ci  peut s’effectue seul ou accompagné par un  thérapeute suivant l’importance ou la gravité de votre passé. Mais, il vous faut aller loin dans la rétrospection de votre vie passée, analyser, comprendre, pardonner et se pardonner les moments douloureux. Plus les évènements sont douloureux, plus le travail est nécessaire et important.

    Le passé non digéré amène des addictions

    L’alcool : est une addiction avec des produits légaux et en vente libre

    Pourquoi buvez-vous?

    La drogue est une addiction avec des produits illégaux que l’on trouve facilement. Depuis des années, il y a un débat drogues douces ou dures mais pour moi, il y a tout simplement des drogues.

    Pourquoi vous vous droguez ?

    mais les personnes qui abusent de l’alcool et de la drogue peuvent conduire à des comportements extrêmes (viol, femmes, hommes, enfants battus, crime, violence).

    Les antidépresseurs sont légaux, certaines personnes en prennent des années sans  se remettre en question.

    Pourquoi prenez-vous des antidépresseurs ?

    Les addictions au jeu, au sexe, au shopping sont bien sur des addictions moins dangereuses mais qui peuvent aussi être destructeurs pour soi et pour la famille.

    Que faites-vous pour changer ?

     

    Les comportements alimentaires

    L’anorexie, la boulimie, les addictions au sucre, au sel, aux produits laitiers etc.

    Pourquoi mangez vous trop ou refusez-vous tout nourritures ?

     

    Des comportements caractériels

    D’où vient votre colère ?

    D’où vient votre tristesse ?

    D’où vient votre blocage sexuel

     

    Bref, chaque évènement du passé positif ou négatif influe les comportements de votre vie présente et future. L’être humain se construit tout au long de sa vie.

     L’inconscient garde en mémoire toute votre vie, celle-ci est importante mais limité

    Mais lorsque la mémoire est pleine d’émotions mal ou pas digérés elles débordent sous forme de déprime, la dépression, addictions (alcool, drogue, nourriture)ou des douleurs.

    Votre corps vous parle, en effet, vos douleurs répétitives sont des signes importants (ex :mal au dos, de tête, jambe cassée et angine à répétition etc.), votre corps ne supporte plus de vivre dans le passé non digéré. Vous devez arrêter de faire l’autruche et de mettre votre tête dans le sable. Vous devez accepter de faire une pause dans votre vie afin de comprendre et pardonner votre passé.

     Accepter et reconnaître vos problèmes, c’est être dans la voie de la guérison

    Tout situation négative est à comprendre, pardonner et à se pardonner (viol, meurtre, divorce, rupture amoureuse, deuil).

    Cette rétrospection est un travail long et peut-être pénible mais o combien nécessaire pour être en paix avec soi et les autres.

    En cas ou vous refusez de faire tout travail sur vous, en vous disant le passé c’est du passé et j’avance sans pardonner et se pardonner, le pardon c’est une faiblesse, ce texte est une hérésie totale vous finirez surement votre vie aigri, triste ou colérique avec pleins de douleurs, d’images du passé.

    Mais surtout, ne reportez pas vos problèmes sur les autres qui vous entourent. Cela serait trop facile. cela restera votre choix et uniquement votre choix.

    Enfin, pour ceux qui ont le désir de faire le travail sur eux, alors vous découvrirez le bien-être et la paix à l’intérieur comme à l’extérieur de vous-même.

    Joël

     


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  •  

    Il  faut apprendre à dissocier vos colères, grandes ou petites elles sont tous importantes, pour commencer un travail sur vous, analyser les sources de vos colères, celles-ci peuvent datés d’avant et après la naissance, les colères d’avant la naissance ne vous concernent pas mais souvent, vous héritez de la colère de vos familles (père, mère, grand-mère etc.). Ces colères d’avant sont stériles, ce ne sont pas vos colères, cela ne vous concerne pas, débarrassez vous en ! Les colères d’après votre naissance, il est nécessaire de les pardonner et de vous pardonner,  car vous pouvez les transmettre à votre entourage. Vous ne devez pas accaparer les colères des autres. Chacun ses colères ! Non Mais !
     
    Joël

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  • Pardonner c'est devenir un rigolus

     

    Faire le deuil consiste à passer par quatre phases :




    Faire le deuil consiste à passer par quatre phases :


    Lorsque je parle de faire le travail du deuil, il n'est point nécessaire de perdre un être cher mais cela peut-

    être aussi la perte d'un emploi ou d'une rupture sentimentale etc.


    La première phase : Le déni : beaucoup d'humains préfèrent se mettre des oeillères et rejettent les

    évènements


    La deuxième et la troisième phases : La colère et la tristesse


    Deux phrases similaires plus ou moins longues, période difficile mais pas insurmontable, tout dépend de la

    capacité des êtres humains à vouloir évoluer et à se prendre en charge.

    Attention : cette phase peut durer toute une vie.

    Info :  Les héritages et les divorces sont des sources importantes de conflits.


    La quatrième phase : Pardonner et se pardonner


    Une phase que beaucoup de personnes ne font pas, car ils ne savent pas ou ne veulent pas pardonne.  

    Phase très importante pour être en paix et être heureux.

     
    JoëlJoël

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  • La dépression : le mal du nouveau millénaire sera :

     la dépression nerveuse :

    Pourquoi les êtres humains depuis des générations évoluent  sans regarder en arrière, Les humains ont une facilité d’essayer d'enterrer et oublier plus ou moins facilement leurs erreurs, leurs colères et leurs tristesses du passé sans se remettre en question ; c’est ce j'appelle la solution de facilité. Mais l’âme  programmée par les anges, l’inconscient, subconscient retient tous les événements du passé.

     

    Je vous donne un exemple : Un vase, lorsque  nous le remplissons de trop d’eau, il déborde, et bien l’âme est comme un vase elle accumule les événements de la vie mais, quand celle-ci déborde,  elle vous renvoie les images du passé et commence un long cycle ou les émotions de colère ou de tristesse ressortent de plus en plus fortes.

     

    Mais attention chaque dépression est différente, il y a plusieurs  stades de dépression, cette maladie sournoise et inexplicable peut entraîner l’abus d’alcool et de drogue, et enfin peut donner aussi et surtout l’envie de mourir, voir même de tenter ou de se suicider. Alors avant d'arriver, à ces stades là, lisez la suite.

     

    Les remèdes à la dépression nerveuse :

     

    Beaucoup de personnes ont des préjuges importants sur les thérapeutes, ils seraient temps pour tout le monde d’enlever ces idées archaïques sur la psychothérapie. Non, mesdames et messieurs, ce n’est pas réservé aux aliénés, de même, les personnes atteintes de cette maladie de l’âme ne sont pas folles. Mais seulement, il va falloir de vous décidez très vite de changer vos comportements, actuellement, c’est l’unique moyen de s’en sortir et de continuer son évolution.

     

    Pour choisir votre médecin, n’ayez pas peur d’aller consulter plusieurs praticiens, choisissez au feeling, dites vous bien que vous allez le consulter pendant plusieurs années, une bonne thérapie dure entre 18 mois à dix ans, suivant votre chemin de vie, n’attendez pas que le médecin parle, c’est vous et vous seul qui conduirez la thérapie vers la guérison. Et surtout allez-y  sans contraintes et sans peur, les thérapeutes sont dans le secret professionnel.

     

     PS : Beaucoup de personnes veulent s’en sortir tout seules, (surtout les hommes) encore une fois cela montre l’égoïsme de l’être humain, n’oubliez que vous avez une famille, des enfants, et que ce n’est pas du tout évident de vivre avec quelqu’un de dépressif.  Mais surtout n’oubliez pas que cela reste une maladie de longue durée. A vous de prendre votre courage à deux mains et de vous soigner afin  que cette période de votre vie soit la plus courte possible. Alors courage.

     

     

    Joël


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  • La peur cause de tout

     

    Tous  les humains ont des peurs plus ou moins violentes et paralysantes qui nous empêchent de vivre dans la sérénité

    Certains humains provoquent, jouent et luttent sur leurs peurs, d’autres provoquent, exploitent et entretiennent la peur des autres.

     

    Il y a différentes peurs :

    La peur provoquée par les carcans de l’histoire, religieux, familiales.

    Ex : les guerres, l’enfer, la solitude, la mort etc.

     

    La peur provoquée par d’autres hommes

    Ex : Les agressions, les attaques à main, le racisme, la magie, la voyance.

     

    La peur de l’inconnu est importante chez les humains

    Ex : peur de la mort, des serpents, des entités, de l’enfer etc.

     

    La majorité des peurs peuvent disparaître si les hommes prennent conscience qu’ils sont  manipulés consciemment ou inconsciemment  depuis des années voir des siècles  par des gens qui veulent garder un pouvoir sur les autres.

     

    La peur est-elle nécessaire pour les humains ?

    Oui, pour certaines peurs elles permettent de se dépasser, et par contre d’autres peurs sont ancestrales et obsolètes tel que l’enfer, la magie et plus difficile à enlever.

     

    Des hommes prennent le pouvoir en utilisant la peur des autres.

     

    Alors, mesdames et messieurs, hommes et femmes de tout les cultures et toutes les races, enlevez vos peurs ancestrales, religieuses et familiales pour vivre dans la sérénité et la paix avec les humains du monde entier

     

     

     Joël


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  • Beaucoup de personnes en souffrance parlent d'envoûtement dès le moindre problème, cela leur évite de se remettre en cause et d'analyser leurs problèmes ; c'est tellement plus facile de remettre en cause les autres

    Il est importants que les humains reprennent la communication avec les ancêtres, nos vrais protecteurs.

    Le travail sur soi et le pardon de ses propres erreurs et aussi, des erreurs des autres, les prières,  permettront le retour du bien-être et de la destinée

    La force de la pensée humaine est capable d'anéantir, de détester, de haïr les  hommes et même de s'autodétruire, mais aussi, elle capable de créer, de bâtir, d'aimer. Nous avons une force extraordinaire en nous, réagissons !

    Information : l'enfer, le diable ont été inventé par les religieux afin de manipuler les futurs croyants aux débuts des religions pour obliger les simples esprits à croire en Dieu et à ses représentants ; rappelez-vous les manants de l'époque ne savaient ni lire ni écrire, ils étaient à la merci de tout érudit.

    La magie  : Croyez-vous, mesdames et messieurs que si le pouvoir de la magie est plus fort que les ancêtres et les prières,  et que si certains avaient ce pouvoir, pourquoi n'utiliseraient-ils pas ce magnifique don pour donner à manger aux affamés, voire guérir les malades du sida, au lieu de se contenter seulement de ramener le mari volage à sa femme ; seraient-ils des manges-petits ?

    Non bien sûr, ce sont des hommes et des femmes qui profitent du désarroi des personnes  ; il est tellement facile de voler de l'argent aux personnes qui sont dans la détresse..

    Joël

     


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  • SAADI ( Poète persan) - Poème

    En un soir, tout s’en va : les fleurs n’ont plus d’odeur, plus de vent embaumé pour frôler des pétales, plus rien ; et souffre un cœur.
    En un soir, on est seul. Pleure un pleur le long d'un nez; il roule en un souris, sûr, puisqu’il ne faut jamais être triste.
    En un soir, en un espoir, en un repos pour un chagrin. J’ai pris ma feuille rose pour parler d’un jour gris.
    Parler de l’avenir avec espoir, sans en avoir ; parler des autres, et pour les yeux.
    En un soir et pour une ouverture. Ouvrir… On ne voit rien ou bien trop tard, on ne sait pas, on ne sait plus.
    En une nuit pour un espoir, qu’on recueille entre ses bras et qu’on garde bien au chaud, entre ses bras.
    En un soir, entre ses bras, en une image qui me fuit, en un rêve qui se détruit, en fleurs fanées pour un printemps… Pauvres immortelles, vous mourez sous la poussière.
    En un soir, en une pluie, en une larme… Je t’aime bien sûr, le sais-tu ? Je vois un ris sous ta paupière, et le vieux singe que je suis ravale son mot, en un sanglot… Non, non, non : c’est un rire.

    Je t’aime. Je l’ai dit et bien sûr dit bien souvent. Comme un mot répété, il a perdu son sens. Je le dis à chaque fois, et je mens. Non, je n’aime pas, ce n’est pas vrai… c’est un caprice.
    Je t’aime… Je crois que je vais analyser, froidement, au scalpel. Je fourrage, je découpe dans le mot de mes sentiments. Je détruis. Plus d’image et plus de mot. Je ne veux rien garder, puisque je mens.
    En un soir, je sens triste. Espoir décomposé et images effeuillées, je garde pour mon rêve un rêve irréalisable. Alors, je construis.
    Je construis ? Non, non, je mens, encore et toujours, parce que je détruirai ensuite, mieux que jamais. Les souvenirs quand vient le soir sont d’un calme lancinant.
    En un soir, en une nuit, en une larme, en un sanglot. Je ramène quelques mots, perdus dans ma mémoire et quelques images que je colle. Avec un grand lit blanc, dans une chambre blanche, avec des rideaux blancs, et un jour blanc, des peaux toutes blanches et de grandes plantes vertes. Un corps blanc.
    En un soupir. Le rêve s’abandonne, je l’abandonne. En quelques impressions idéalisées, une campagne laiteuse, dans un demi-jour baignant dans un brouillard, avec la pluie qui larme goutte à goutte et les feuilles qui pleurent blanc en un son blanc. Nuit sans sommeil.
    En un ennui, en un soir, en un stylo, et des angoisses et des sanglots et des soupirs. Il faut écrire et oublier, et laisser la main courir sur le papier, et me laisser écrire que je t’aime, même faux et même idiot.
    Je t’aime. Oui, je t’aime pour la nuit blanche et pour le souvenir laiteux d’un soir de coton. Je voudrais te le dire en souvenir et en rêve. Car mon amour n’existe pas ; il se construit et se détruit, fidèle à une mort latente et un espoir déçu.
    En un cri, je t’aime ! J’entends tes pas tout près de moi et tes yeux noirs, je les entends me dire mille choses dans un recueillement effronté. J’entends chaque pulsation de ton cœur qui résonne en immense cathédrale.
    J’entends et j’enregistre, puisqu’en un cri la vie se meurt en raccourci.
    En un aveu : je t’aime ! Tu n’en sauras rien, puisqu’il le faut bien et qu’il faut oublier qu’on sait et qu’on s’est souvenu. J’attends ton mouvement et te tendrai les bras, en un grand signe de ma croix. Parce que je t’aime. Où m’as-tu vu et qu’as-tu su ?
    Pour mon désir, je t’aime… C’est sûr. Pour un repos et un bonheur, pour long temps de malheur. L’amour est malheureux, car le partage ne se peut… on ne le veut.
    J’écris ça, noircissant du papier en mensonge de moi, hésitant par devers moi… Pourquoi ?
    Pourquoi un soir comme tant d’autres, en un souffle de regrets, j’embrasse des amours mortes pour pouvoir encore y rêver ? Pourquoi ma voix, pourquoi ma peine ? Je ne peux pas t’oublier.
    En un soir où je suis moi, les questions vont et s’enchaînent, en découverte d’un autre moi, de découverte en découvertes. Parce que je t’aime et que j’entends ton pas qui sonne et marche – qu’il résonne ! – battant mes flancs, battant dans mon cerveau, en attente. Car il attend, car j’attends.
    Le temps se bat – avec des âges. Parce que je t’aime et qu’il ne le faut pas, parce que la glace me renvoie une image, une image qui ne me plaît pas. Avec un rêve où je suis beau. Même ainsi je repousse mon espoir ; parce que je t’aime et qu’il ne le faut pas. Tu as vingt ans, j’en ai soixante, j’ai trop vécu et suis le sphinx.
    Pour toi j’ai oublié. En un soir, bien sûr…
    En un soir, j’ai effacé l’ardoise d’un coup d’éponge, j’ai… Je mens encore et me le dois. Car tout mon souvenir, rien ne l’effacera…
    Je referme mon cœur de plomb, et chaque battement décroît sur le plafond. Triste, ce battement… Le rêve se suicide. Et son encre s’écoule en caractères humides sur le papier, noir éternellement.
    Ce n’est qu’un souvenir… en un soir, cependant.
    Dehors, il y a la nuit, qui frappe sur ma porte, la longue nuit, vêtue de blanc dans son linceul. Sans mouette  ni alouette et sans réveil ; car il pleure, ce dehors. Il pleure en un roulement triste et lent, mesuré, timide.
    La nuit n’est pas venue, ni son ivresse de gin. Elle s’est assise sur un banc, dans la rue, à la clarté d’un pâle réverbère. Blanche comme une mariée, mon amour… blanche comme une morte, pleurant toute sa neige. La plaine se couvre d’un manteau, car tout est blanc.
    La nuit n’est pas venue, en ce soir. Et je suis seul, et je t’aime. J’ai séché le papier avec un buvard blanc et j’ai perdu mon livre blanc. La nuit… elle n’est pas venue. Le ciel se meurt, car il fait froid et il fait peur.
    Parce que je t’aime et me souviens, et je dois t’oublier demain. Avec toi toute la nuit, à te serrer dedans mes bras, à te garder tout contre moi, à t’aimer… peut-être malgré toi.
    Mais la nuit n’est pas venue et je suis seul avec mes caresses, et la chaleur de mon amour, et le nid qui
    n’attendait que toi ; et je suis seul avec tout un rêve, et je suis seul avec tout un mal, puisque la nuit n’est pas venue.
    Puisque la nuit n’est pas venue, puisque les arbres n’ont pas verdi, puisque le ciel n’a pas blanchi, puisqu’un oiseau n’a pas chanté, puisque je t’aime, je n’ai pas encore pu t’oublier. Et je t’attends avec la nuit, la nuit des autres, et leur télé, et leur néon et leur confort, et leur amour, et une lampe qui brille dans une chambre  rouge. Et je t’attends avec le petit matin, avec la rosée, avec le soleil… mais rien n’est venu.
    Rien n’est venu parce que je t’aime, et que mon cœur est dans ton cœur, puisque ta peine est dans ma peine, puisque ta joie s'est faite mienne. Je t'aime en souvenir - c'est une belle histoire – : Viens !
    En un soir, c’est fini. La nuit est arrivée, le charme s’est rompu, la peine s’est cassée. En un soir, et sans pluie et sans pleurs. Je ne t’ai pas aimé, pas adoré, toi le soir qui descend. Toi, l’ombre chère, je ne t’ai pas aimée.
    Je n’ai pas entendu battre ton cœur, je n'ai pas entendu ton âme respirer.Sur tes lèvres, un baiser… Et j’ai goûté ton âme. Saveur triste d’infini, de rose qui se fane. Comme ton sourire qui vient de se faner. Je ne t’ai pas aimé, souvenir adoré.
    Et tes lèvres sont rouges. Et j’ai goûté ton cœur, l'espace d'un miroir. Et le miroir m'a dit que je me trompe souvent. Que la vie, la beauté, l’odeur, le goût des choses, tout passe et tout s’oublie, fors le parfum des roses.
    J’ai pris un magnolia fleurissant doucement, j’ai composé ses fleurs, j’ai tué mon tourment. Sur la table
    aujourd’hui, un pot de roses rouges. Le parfum m’en revient, en ce soir, sur tes lèvres. Car je t’aime, si tu veux ; car je mens, mon cœur dans tes cheveux.
    J'effleure tes cheveux, je t'embrasse, je t'aime. J'écris un chant d’amour d’où je bannis la haine. J’écris mes sentiments, barre la conclusion. Je t’aime, c’est ainsi : c’est mon absolution.
    J’écris un chant d’amour et tu es mon poème. Tu es mon chant de vie : je t’aime ! Ce soir, il a fait bon : j’étais  auprès de toi. Rien d’autre n’existait ; seuls : toi et moi.
    Sur la table, des roses rouges. Et tes lèvres, en rose rouge. C’est un cœur où je me noie. Et tes doigts entre mes doigts. C’est ta main dedans la mienne. C’est ton âme contre la mienne.
    En un soir il fait beau. Tu es une clarté. Et ton corps a rosi. Et ton corps est troublé.
    J’ai offert des roses blanches. J’ai gardé un peu de sang – partagé, t’en souvient-il ? Et ce soir dans l’aube blanche, dans un souvenir troublant, je serre sur mon cœur des roses rouges.
    De mes doigts coule du sang.

     

    Source : http://clairobscur.blogspirit.com/archive/2006/03/24/saadi-poete-persan-poeme.html

     


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  • De tristus passez à rigolus

      

    Vous êtes déprimés ou dépressifs

     

    La dépression est sournoise, plus ou moins longue suivant les individus et leurs capacités à se comprendre et à vouloir s'en sortir.

      

    Posez-vous les bonnes questions ?

     

     

    Pourquoi suis-je dépressif ?

    Les traumatismes de l'enfance, de l'adolescent, de la vie d'adulte et les aléas de la vie (les deuils, les pertes de travails etc.) sont banalisés au maximum dans la vie. Hors, beaucoup de personnes vivent avec ces traumatismes (secrets de famille, abandon, viols etc. ) sans faire le travail du deuil (voir l’article du travail du deuil). C’est une erreur monumentale.

    Les évènements de la vie doivent être compris, digérés et pardonnés. Nous sommes dans un monde matérialiste qui laisse peu de place aux sentiments. Et Pourtant …….

     

    Quel est l'évènement qui a déclenché  la dépression ? 

    Un décès, une rupture professionnelle ou sentimentale peuvent être le lien déclencheur de la dépression.

     

    Que faut-il faire pour sortir de la dépression ?

    La médecine : Beaucoup de personnes prennent des médicaments, cela aide beaucoup bien entendu,

    mais en aucun les médicament soignent la cause de la dépression. 

     

    Joël


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